En 2017, un salarié de sous-traitant d'ArcelorMittal-Florange expliquait avoir reçu l'ordre de déverser de l'acide dans un espace naturel, le "crassier de Marspich", à Hayange (Moselle) pendant trois mois à raison de plus de vingt mètres-cubes d'acide par jour.
Au même titre que les Droits d’alerte des salariés qui existent aujourd’hui en entreprise (relatifs à la santé financière de l’entreprise ou aux conditions de travail des salariés), la mise en place d’un Droit d’alerte environnemental des comités d'entreprise et CSE doit être envisagée par le législateur.
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